Olympique Lyonnais

Un peu quand même Rolling Eyes

réveillère fini jusqu'à la fin de saison surpris

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2008-2009/story_sto1764313.shtml

ah ben on est bien tiens.... Rolling Eyes

ouais car on a qsue le nouveau au nom super compliqué ou gassama, à moins que boum se raligne en couloir comme au début de sa carrière scratch

Clerc va reprendre l'entrainement ! Put*ain j'ai pas envie de le revoir en équipe de france celui là !! Quelle guigne c'est pas possible ! Comment on peut selectionner un mec pareil !?

Clerc c'est toujours mieux que Reveillere Rolling Eyes

et il a beaucoup progressé !

pour voir match http://www.zhibo8.com/sina6.htm

clerc a recouru hier !! et honnetement il a sa place en équipe de france car derrière willy c'est bien lui le seul a assuré au mieux l'intérim ! il a une très bonne vitesse pour se replacer sérieux et en plus il progresse petit à petit ! arretez de le tailler il a que 23ans, il va encore progresser ! willy n'a pas été grandiose dans ses débuts non plus ! faut lui laisser le temps !

sinon on est qualifié !!!! cheers

magnifique match !!!!

Ba honnetement je préfère fanni !

QUALIFIEEEEEES !!!!! cheers

Les filles ce soir je vais voir Nantes Lyon

clarisse a écrit:: Les filles ce soir je vais voir Nantes Lyon

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH VEINARDE !!!!!!!!!!!
love

bon et bien.... Bon match ! Sad

Merci

J'essairai de prendre plein de photo Very Happy

N'oublies pas de prendre Touuul' love

Oui tkt pas ! je sais pas si il va jouer apparement il était incertain pour le match :O

mon ptit CHouuuuu

mais il est dans le groupe donc je verrais bien !Promis si il est pas loin de moi je le prend en photo Smile

miciiiiii

J'suis dégoutée Sad

Match pouri! Ambiance des lyonnais pas super!
Arbitrage pourri! L'arbitre -> c***ard screugneugneu

Après on dira que Lyon est favorisé par l'arbitrage! screugneugneu

L’élite française a eu beau se ramasser cette semaine en Ligue des champions, la L1 présentera dimanche un vrai sommet : l’Olympique lyonnais contre l’Olympique de Marseille, le premier contre le deuxième, une équipe à 150 millions de budget annoncés pour la saison face à une qui en affiche plus de 100. Le match pèse lourd : si Lyon l’emporte, il expédie son adversaire d’un soir à 6 points. A part ça, OL-OM, c’est aussi et surtout une affaire de sensations, de style. Décryptage à travers les cinq sens. Si les deux Olympiques étaient :

une image
Lyon : Le Brésilien Juninho fracassant une porte dans un couloir du Parc des Princes le 22 novembre, juste après avoir été expulsé pour une agression sur Sylvain Armand. L’OL ne transpire pas la sérénité, Jérémy Toulalan ayant même qualifié d’«inquiétante» la défaite (1-2) de samedi dernier à Nantes. Fragilité défensive, manque de maîtrise collective, victoire a minima sur un exploit personnel de Karim Benzema après des parties ratées : on a déjà vu l’entraîneur Claude Puel furieux après certains matchs.
Marseille : L’attaquant international Hatem Ben Arfa qui refuse de s’échauffer (puisqu’il aurait souhaité être titulaire) le 26 octobre durant le match OM-PSG (2-4) et, partant, l’opération médiatique «sauvons le soldat Ben Arfa» enclenchée dans la foulée par le staff olympien, avec accolade paternelle surjouée par le coach Eric Gerets. Si le foot est une comédie, les Olympiens fournissent toujours les premiers rôles.

un son
Lyon : C’est l’ancien de la maison (et néo-Marseillais) Hatem Ben Arfa qui parle le mieux de l’OL dans le Progrès de vendredi: «C’est la spécialité (des dirigeants lyonnais) d’être un peu mesquins. Dans le vestiaire, tous les joueurs se plaignaient qu’il leur manquait toujours quelque chose sur la fiche de paie. Là, il n’y avait pas de conflit de génération ! On râlait tous, il fallait réclamer.»
Marseille : La voix de l’entraîneur Eric Gerets, forcément : «Nous avons un très joli petit match à jouer dimanche à Lyon. Je pense surtout à ça. C’est comme quand on est petit avant la Saint-Nicolas. Chaque nuit avant de s’endormir, on pense au nombre de nuits qu’il reste avant Noël.»

un parfum
Lyon : L’eau de toilette du président du club, Jean-Michel Aulas, quand il vient régaler la presse de ses commentaires technico-tactiques. On a beau nous abreuver de sondages bidons sur la cote d’amour exponentielle de l’OL chez les fans de foot, personne n’est dupe - et surtout pas ceux qui ont un œil sur les audiences télé. Aulas, c’est la limite ; l’épouvantail médiatique systématiquement érigé entre le public et les joueurs.
Marseille : L’odeur des fumigènes de supporteurs qui ont accueilli Santos Mirasierra mercredi soir, à sa sortie du centre pénitentiaire d’Estremera, après que la justice espagnole eut décidé de sa libération sous caution. Santos Mirasierra, l’Ingrid Bétancourt des calanques : le quotidien la Provence qui affiche en une le décompte des jours de détention du supporteur comme pour les otages du Liban, les tee-shirts «Liberté pour Santos» portés par les joueurs à l’échauffement, le président Pape Diouf qui en remet tous les jours, avion privé de Robert Louis-Dreyfus expédié en Espagne pour aller chercher Santos Mirasierra… A l’heure où les fans se sentent partout expédiés dans les marges, l’OM (qui rétrocède à certains groupes de supporteurs une partie de la vente des abonnements) s’est offert une campagne de com’ dont son public saura se souvenir en cas de mauvais résultats répétés.

un goût
Lyon : Un filet de dorade juste saisi, avec un quartier de citron : au fil des années, l’OL n’en finit plus de perdre du muscle - départs de Florent Malouda, Michael Essien, Eric Abidal, Mahamadou Diarra - ce qui renforce l’aspect léger, un peu «nouvelle cuisine», des productions rhodaniennes. Si Lyon a aujourd’hui sous contrat les plus grands techniciens de Ligue 1, il n’a pas - à Jérémy Toulalan près - les plus durs.
Marseille : Un vin qui aurait du fruit, qui titrerait 14° mais serait court en bouche : aucun titre en quinze ans alors que se sont succédé des pointures comme Fabien Barthez, Didier Drogba ou Franck Ribéry, il y a quelque chose de bizarre. Longtemps, l’explication suivante a prévalu : l’équipe n’est pas bâtie pour gagner quelque chose mais pour multiplier les transferts. Paradoxalement, c’est plus stable depuis 2004 et l’arrivée de l’ancien agent Pape Diouf aux manettes. Alors…

un toucher
Lyon : La caresse de Juninho quand il emmène son ballon vers l’avant. Le contact avec le cuir est à la fois suave et léger, comme s’il maîtrisait un œuf avec le souci de ne pas le casser. Avec son milieu de terrain brésilien et Karim Benzema, l’OL dispose des deux plus grands techniciens de Ligue 1. Deux garanties aussi : Lyon n’a jamais perdu quand l’un des deux était titulaire. La marge dont l’Olympique lyonnais dispose sur l’adversité, c’est eux.
Marseille : La frappe sur coup franc du défenseur latéral gauche Taye Taiwo, dont on finit par se demander s’il ne leste pas ses godasses avec un mélange de plomb et de mercure. Quand il a débarqué sur la Canebière en 2005, le Nigérian a eu un mot historique : «Après le foot, je me verrai bien président de l’OM.» Il défend peu, attaque à mort et symbolise l’équipe marseillaise : au point où en est Marseille (meilleure attaque avec 33 buts en 17 matchs et 14^e défense), les excès offensifs de Taye Taiwo ne font même plus débat.